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Les pods de la creep: La silhouette

Il est tard, tout est silencieux autour de vous. Votre écran illumine la pièce, le casque serre vos oreilles, et vos doigts s’agitent encore sur le clavier malgré la fatigue. Un soir comme tant d’autres, rythmé par les parties en ligne et les éclats de rire étouffés. Mais parfois, ce qui ressemble à une routine anodine peut se transformer en expérience bien plus inquiétante.

Dans ce nouvel épisode des Pod de la Creep, je vous emmène au cœur de ces nuits blanches passées devant l’ordinateur, quand le monde réel se brouille avec le virtuel. Tout commence par un jeu, des adversaires, une partie comme on en a joué des centaines. Puis, une pause rapide, une fenêtre ouverte sur la rue familière. Le décor est banal, rassurant même. Pourtant, dans cette banalité, un détail trouble l’équilibre. Un silence trop épais. Un lampadaire qui s’éteint. Et soudain, l’impression qu’on n’est plus vraiment seul.

Ce qui fait frissonner dans cette histoire, ce n’est pas seulement ce que l’on croit voir à travers une vitre, ni ce que l’écran reflète. C’est cette frontière fragile entre le réel et l’imaginaire qui se fissure peu à peu. Le personnage principal se débat entre la fatigue, les jeux vidéo, les images qui se superposent, et cette sensation glaçante qu’une présence rôde là, tout près.
L’épisode explore une peur moderne et intime : celle de l’écran qui n’est plus un refuge, mais un passage. L’électricité, les câbles, les réseaux… et si tout cela devenait un terrain de chasse pour quelque chose d’invisible ? Lorsque la lumière vacille, quand les sons se brouillent, l’angoisse s’infiltre dans les interstices de notre quotidien.

Avec ce récit, Les Pod de la Creep nous entraînent dans une veillée où le familier se déforme : une chambre, une rue éclairée, un jeu vidéo. Rien d’extraordinaire, et pourtant… à la faveur de la nuit, tout devient étrange, menaçant, irréel.

Cet épisode n’est pas seulement une histoire de peur : c’est une réflexion sur ces instants où l’on ne sait plus si l’on rêve, si l’on hallucine, ou si, au contraire, on a bel et bien aperçu ce que l’on n’aurait jamais dû voir.

Alors, la prochaine fois que vous jouerez tard le soir, seul devant votre écran, gardez un œil ouvert. Car parfois, la frontière entre votre chambre et l’obscurité n’est qu’une illusion fragile.

Appuyez sur “play”... si vous l’osez.

Un épisode narré avec un talent incroyable par la fantastique Lowkette ! Si vous cherchez une voix (voir plusieurs) vous avez là une actrice que le monde du podcast s'arrache et qui fais vivre de nombreuses fictions sonores.

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Un feu qui vacille: Sous les feuilles, les voix oubliees

Épisode 11 – Sous les feuilles, les voix oubliées

Le Bois de l’Ombre porte bien son nom : forêt étouffée, peuplée de silences, de statues, de ricanements et de souvenirs égarés. Dans cet épisode, je traverse ce lieu hanté, entre brume, jarres maudites et créatures oubliées. Je libère Rosabeth, croise Benhart de Jugo et discute longuement avec la tête solitaire de Vengarl. Je découvre Grandahl, puis libère Orniflex, étrange marchande d’âmes. Enfin, accompagné de Tark, je mène un combat aussi tragique qu’épique contre Najka, la scorpide aux yeux éteints.
Un épisode sur l’identité vacillante, la mémoire brisée… et sur la nécessité de continuer malgré tout.
Sous les feuilles, les voix oubliées ne demandent qu’à être entendues.

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